L’hommage aux morts, vu par des Camerounais…
Le 16 octobre, ma belle-sœur est décédée des suites d’une maladie aussi courte qu’inexplicable. Pendant trois semaines, la famille s’est régulièrement réunie pour lui organiser des obsèques dignes de ce nom. Trois semaines de cotisations, trois semaines de privations, trois semaines d’emprunts contractés çà et là, pour que, le jour...