Pour que cessent les violences conjugales
Au Cameroun, 36,1% des femmes et 39% des hommes âgés entre 15 et 49 ans déclarent que le mari a le droit de frapper sa compagne. Comment faire évoluer les mentalités ?
Au Cameroun, 36,1% des femmes et 39% des hommes âgés entre 15 et 49 ans déclarent que le mari a le droit de frapper sa compagne. Comment faire évoluer les mentalités ?
Le 20 mars dernier, journée internationale de la francophonie, j’ai eu un court – trop court – échange sur twitter avec la mondoblogueuse Mariam Sorelle au sujet de l’impact positif que cette organisation pouvait avoir sur les langues nationales africaines. Tout est parti d’un tweet de Mariam dans lequel elle...
Si on considère qu’une journée de cours dure environ 8 heures de temps, on se rend compte que, pendant un bon nombre d’années, nous passons le plus clair de notre temps à l’école. Quand en plus on rajoute les heures passées à réviser et à faire les devoir à la...
Alors que le taux de croissance grimpe, pourquoi donc le Camerounais lambda ne ressent pas les répercussions de cette bonne santé économique au quotidien ?
Rassurez-vous, je n’ai pas l’intention de parler du recueil de poèmes – que j’imagine excellent – de Birago Diop qui porte ce titre. Je ne pense pas avoir une plume aussi belle que celle d’Anna Keds qui, dans son blog, empeche la bibliotheque africaine de bruler. C’est que, quand j’observe la...
lls ne partiront jamais. C’est à nous, c’est au peuple africain de les bouter hors de « leurs » palais. Mais pour cela, nous devons utiliser la bonne méthode.
Depuis quelque temps déjà, le vent de la révolution « nappy » souffle sur les têtes (et dans les cheveux.
Observez autour de vous, vous vous en rendrez compte : les prénoms que porte la grande majorité d’entre nous n’ont aucun lien avec le continent. La plupart du temps, on se base sur les personnages de séries télévisées, quelquefois sur les personnages de romans, mais beaucoup plus sur les livres saints, pour attribuer des prénoms à notre progéniture.
Ayanna avait déjà fait le tour des cliniques et des marabouts de Yaoundé et de ses environs. En désespoir de cause elle s’était rabattue sur les églises réveillées. Et, régulièrement, on priait pour elle. On essayait de chasser le démon de la stérilité qui l’habitait, à ce qu’il semblait. En vain. Le démon tenait bon
J’ai voulu commencer ce billet par une formule de politesse (à la façon de mes frères togolais) de peur que mes émotions, si elles prennent le dessus, ne me fassent apparaître à vos yeux comme un individu dépourvu d’éducation. J’ai essayé, mais je n’ai pas pu retrouver ces formules toutes faites...